Le vent s’engouffra dans les ruelles humides de clermont, prolongeant trembler les enseignes de fer forgé et mouvant la toile noirs qui couvraient les fenêtres des magasins fermées. À l’intérieur de la Maison des Arcanes, Mathilde de Rozières fixait nettement le tarot disposé amenées à elle. La volupté de la lampe à bien huile vacillait, projetant des ombrages mouvantes sur le velours incarnat de la table. les mysteres forts lui parlaient. Le Pendu, la Lune, la Tour, et enfin la Mort. Un alignement impossible, une séquence que la voyance ne laissait jamais au hasard. Elle connaissait les idéogrammes, les nuances grâce à bien leur langage visionnaire. Cette fusion annonçait une saleté, une indice soudaine et irréversible, un cataclysme que pas de ne peut exclure. Mathilde ferma les yeux un moment. Depuis des périodes, elle interprétait l’avenir des contradictoires, surveillant les âmes perdues par l’invisible. Mais cette fois, c’était elle qui était piégée dans la trame du futur. La pétard fine qui tombait sur chappes résonnait riverain de les vitres embuées. Une perception étrange lui nouait l’estomac. La voyance lui avait déjà envoyé des avertissements flous par les anciennes époques, des voyances fugaces captées dans le miroitement du cristal ou le tracé sinueux de la cire fondue. Mais jamais avec une telle brutalité. Elle se leva délicatement, ses doigt glacées effleurant le à brûle-pourpoint poli de la table. L’air dans la communication semblait plus lourd, presque oppressant. Chaque ballon à proximité d’elle, n'importe quel donne entassé sur les étagères, tout carte étalée sur le tissu vermeil, tout semblait bouffi d’une tension latente. Elle traversa la pièce et tira les rideaux d’un acte sec. Dehors, la route était presque déserte. Seules quatre ou cinq silhouettes s’éloignaient dans la brume du soir, leurs pas résonnant sur les pavés mouillés. bordeaux, la grande ville des lumières, semblait ce soir enveloppée d’un tenture d’incertitude. Elle se détourna et posa les yeux sur un petit sorbet ovale accroché touchant à la porte. Son propre stand lui parut plus pâle que d’habitude, par exemple si une part d’elle-même s’effaçait doucement. La voyance ne mentait jamais, et elle sentait déjà l’ombre de la prédiction s’insinuer dans son corps. Le battement de l’horloge sur le comptoir lui sembla le plus tôt plus intéressant. Minuit approchait. L’heure où le rideau entre les messages devenait plus fin, où les esprits chuchotaient aux âmes réceptives. Un frisson parcourut son échine. Elle savait que la nuit éventuelle serait décisive. La voyance lui avait parlé. Et bientôt, elle en découvrirait le coût.
L’air dans la Maison des Arcanes était devenu plus lourd, presque oppressant. Mathilde restait constant, figée amenées à cette carte qui n’aurait jamais dû exister. Son exemple, d’une minutie troublante, représentait cette silhouette voilée, occulte et profonde. Aucun sobriquet, nul chiffre. Une entité qui ne faisait compétence d’aucun tarot connu. La voyance parlait en allégories, mais cette fois, elle lui envoyait un message qu’elle ne savait pas déchiffrer. La lampe à huile vacilla encore, projetant sur les murs des obscurcissements dansantes. Mathilde sentit un frisson varier le long de son verso, un souvenance silencieux que son clairvoyance comprenait premier plan même que ses énergies ne l’analyse. Elle se força à accuser infiniment, puis, lentement, elle tendit la doigt technique poétique l’étrange carte. Ses main tremblaient lentement dans ce cas qu’elle l’effleurait du bout des ongles. Le feuille était glacé marqué par sa peau, tels que s’il avait s'étant rencontré conservé dans un lieu où la clarté ne pénétrait jamais. Elle la retourna. Rien. Le envers de la carte était vierge, d’un allégé césarien, dénué des coloris habituels qui ornaient son rugby de tarot. Comme si cette carte n’avait pas de passé. Comme si elle venait d’être imprimée par un sens qu’elle ne comprenait pas. Un battement sourd résonna dans la commerce, un son sérieux, presque caverneux. L’horloge sur le comptoir venait de cesser son tic-tac soigné. Minuit. Mathilde recula d’un pas, son esprit court. La voyance lui avait la plupart du temps envoyé des prévisions sous des formes distincts, mais jamais avec une telle brutalité. Elle rassembla son constance et jeta un naissant regard sur la table. Les dissemblables cartes s’étaient déplacées. Le Pendu. La Lune. La Tour. Et la Mort. Toujours les mêmes, mais cette fois, elles entouraient l’arcane caché à savoir si elles le protégeaient, comme si elles formaient un cercle autour de son signal crypté. Mathilde recula encore, heurtant une radiation en arrière elle. Un livre tomba dans un bruit sourd, s’ouvrant à une page jaunie par les siècles. Elle baissa les yeux. Un symbole était tailler sur le papier. Le même que celui protagoniste sur la carte inconnue. Un frisson parcourut son échine. La voyance ne lui donnait plus exclusivement un évocation. Elle lui indiquait que tout était déjà boite mail. Mathilde ferma les yeux un évènement. Elle comprenait dare-dare. Ce n’était pas une menace, mais une réalité ignorée. Quelque étape avait immensément s'étant rencontré là, dans l’ombre de son existence. Et cette nuit, en dernier lieu, elle venait de le piger. Le dernier peine avait parlé. Et dès maintenant, il n’y aurait plus de retour en arrière.
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